Jacques PREVERT présente le film "Ce Brest dont il ne restait rien" produit par la ville de Brest : le poète parle de la ville après la guerre, du bateau reliant Ouessant, de ses relations avec cette ville, et avec le Finistère qu'il affectionne. Il évoque ses séjours à Locronan avec le peintre Tanguy, le poème "Barbara", la phrase "quelle connerie la guerre" qu'on lui a beaucoup reprochée. Enfin il se souvient de la rue de Siam qui est devenue "un grand boulevard glacé "..." La guerre abîme les villes..."
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